7h37. Je
viens de boucler la dette des Portugais. Finito. Deux heures à me prendre
le chou avec leurs indices de crève-la dalle. Instant de détente : un
Balisto-figue à la main, je regarde le soleil qui se lève sur l’Opéra en
écoutant Spanish Bombs. Tiens, ça me fait penser qu’il faut aussi que je
les plâtre les Espingos.
J’appelle
chez les Bobo-la-tête : faut absolument qu’ils en remettent un coup
sur la Doillon, j’adore son style « the Kooples ». Un peu des yeux de
veau mais très saine. Personne bien sûr. Tu penses, ils arrivent pas avant midi
ces traine-savates. J’envoie un texto salé à Audrey genre wake up call.
Evidemment, elle rappelle dans les deux minutes « oui chef, bien
chef». J'aime cette nana.
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